Stéphanie Arnaud* décrit les quatre principes fondamentaux du management humaniste
Le principe d’autonomie : Le travail doit s’accompagner d’une zone d’autonomie pour le salarié afin de lui permettre d’exprimer sa personnalité et d’éprouver sa liberté. Concrètement, cela signifie qu’il doit pouvoir, dans une certaine mesure, personnaliser son action et y inscrire une trace de sa spécificité. D’autre part, il doit pouvoir prendre des initiatives, réaliser des choix et participer à la détermination des objectifs et des moyens, afin de se sentir responsable et auteur de sa tâche.
Le principe de compétences : Le travail doit offrir la possibilité au salarié d’exprimer les talents et qualités qu’il sent détenir en lui, de relever des challenges stimulants et d’affirmer ses compétences. Lui permettre de croire en ses compétences, de les développer ou d’en découvrir de nouvelles serait un plus...
Le principe de reconnaissance et d’écoute : La situation de travail doit permettre à la personne de se sentir reconnue « à sa juste valeur » et dans sa singularité. Ecoute, compréhension et confiance sont des pré-requis évidents de la relation.
Le principe de respect de la logique d’autodétermination : Il s’agit de lutter contre les discriminations lors du recrutement et au cours de l’activité, de protéger la vie personnelle des employés et l’ensemble des libertés individuelles et collectives reconnues aux salariés. Il s’agit d’instaurer et de respecter une réelle diversité.
* http://www.cergam.org/fileadmin/files/cerog/wp/789.pdf
Le principe de compétences : Le travail doit offrir la possibilité au salarié d’exprimer les talents et qualités qu’il sent détenir en lui, de relever des challenges stimulants et d’affirmer ses compétences. Lui permettre de croire en ses compétences, de les développer ou d’en découvrir de nouvelles serait un plus...
Le principe de reconnaissance et d’écoute : La situation de travail doit permettre à la personne de se sentir reconnue « à sa juste valeur » et dans sa singularité. Ecoute, compréhension et confiance sont des pré-requis évidents de la relation.
Le principe de respect de la logique d’autodétermination : Il s’agit de lutter contre les discriminations lors du recrutement et au cours de l’activité, de protéger la vie personnelle des employés et l’ensemble des libertés individuelles et collectives reconnues aux salariés. Il s’agit d’instaurer et de respecter une réelle diversité.
* http://www.cergam.org/fileadmin/files/cerog/wp/789.pdf